Parlez nous un peu de vous…
Que dire ? J’aurais sans doute préféré une question un peu plus précise… voire pas de question du tout, je n’aime pas tellement parler de moi à vrai dire…
Et surtout, je n’en ai pas l’habitude mais on va faire un petit effort… ;-))
Je suis comédien depuis de nombreuses années mais j’ai un parcours un peu atypique…
Et surtout, j’ai mis longtemps à me considérer comme tel …
Quand j’ai commencé le théâtre, je n’avais aucune notion de quoi que ce soit en terme de décors, de scénographie, de son, de lumière, de corps… C’est sans doute cette inconscience qui m’a permis de me décider à jouer « La nuit juste avant les forêts » de Bernard-Marie Koltès, un monologue d’1H15 en ne l’ayant répété sur scène que la veille et l’avant-veille de la première…
On vous a beaucoup vu à la télévision. Qu’est-ce qui vous a dirigé vers le théâtre ?
Je viens de là… Car même si je n’avais aucune connaissance à la base, j’ai beaucoup lu, beaucoup écouté, beaucoup regardé, beaucoup pratiqué et passé pas mal d’heures dans des lycées à essayer de transmettre, d’échanger… La télé et le cinéma ne sont réellement arrivés que tardivement…
Qu’est-ce qui vous a attiré dans ce projet ?
Tout d’abord, je dois avouer que j’ai aimé le hasard généreux qui a mis « La Baraka Pizza » sur ma route… Je connais Cyril Lecomte, on a tourné dans des films communs sans jamais avoir de scènes ensemble… A la suite du désistement de l’acteur retenu à l’origine pour jouer LE CHEF, il m’a appelé pour savoir si j’acceptais qu’il propose mon nom au metteur en scène, Simon Abkarian, qu’étonnamment j’allais voir jouer le lendemain ! Et Simon, comment dirais-je… C’est quelqu’un !
J’ai rencontré Simon à qui j’ai d’abord demandé une lecture pour mesurer ma compatibilité avec Cyril et Blandine… Et il s’est avéré que ça s’est très bien passé…
Vous jouez dans la pièce le rôle du pizzaïolo, le « CHEF ». C’est un homme d’apparence forte, mais qui nous dévoile ses faiblesses… Ce personnage ressemble-t-il au Laurent de la vie de tous les jours ?
Je fais 1M85 et je suis en ce moment aux alentours du quintal alors pour les enfants et certains êtres humains sur cette Terre, j’ai l’apparence de quelqu’un de fort…
Maintenant, au quotidien, je fais comme tout le monde… comme je peux !
Que dire ? J’aurais sans doute préféré une question un peu plus précise… voire pas de question du tout, je n’aime pas tellement parler de moi à vrai dire…
Et surtout, je n’en ai pas l’habitude mais on va faire un petit effort… ;-))
Je suis comédien depuis de nombreuses années mais j’ai un parcours un peu atypique…
Et surtout, j’ai mis longtemps à me considérer comme tel …
Quand j’ai commencé le théâtre, je n’avais aucune notion de quoi que ce soit en terme de décors, de scénographie, de son, de lumière, de corps… C’est sans doute cette inconscience qui m’a permis de me décider à jouer « La nuit juste avant les forêts » de Bernard-Marie Koltès, un monologue d’1H15 en ne l’ayant répété sur scène que la veille et l’avant-veille de la première…
On vous a beaucoup vu à la télévision. Qu’est-ce qui vous a dirigé vers le théâtre ?
Je viens de là… Car même si je n’avais aucune connaissance à la base, j’ai beaucoup lu, beaucoup écouté, beaucoup regardé, beaucoup pratiqué et passé pas mal d’heures dans des lycées à essayer de transmettre, d’échanger… La télé et le cinéma ne sont réellement arrivés que tardivement…
Qu’est-ce qui vous a attiré dans ce projet ?
Tout d’abord, je dois avouer que j’ai aimé le hasard généreux qui a mis « La Baraka Pizza » sur ma route… Je connais Cyril Lecomte, on a tourné dans des films communs sans jamais avoir de scènes ensemble… A la suite du désistement de l’acteur retenu à l’origine pour jouer LE CHEF, il m’a appelé pour savoir si j’acceptais qu’il propose mon nom au metteur en scène, Simon Abkarian, qu’étonnamment j’allais voir jouer le lendemain ! Et Simon, comment dirais-je… C’est quelqu’un !
J’ai rencontré Simon à qui j’ai d’abord demandé une lecture pour mesurer ma compatibilité avec Cyril et Blandine… Et il s’est avéré que ça s’est très bien passé…
Vous jouez dans la pièce le rôle du pizzaïolo, le « CHEF ». C’est un homme d’apparence forte, mais qui nous dévoile ses faiblesses… Ce personnage ressemble-t-il au Laurent de la vie de tous les jours ?
Je fais 1M85 et je suis en ce moment aux alentours du quintal alors pour les enfants et certains êtres humains sur cette Terre, j’ai l’apparence de quelqu’un de fort…
Maintenant, au quotidien, je fais comme tout le monde… comme je peux !